Chapitre IV : Les Geoffroy, seigneurs de Dompierre ; difficultés entre Marie Furgon, veuve de Georges Geoffroy, et l‘évêque de Maillezais ; état du prieuré du Petit Maillezais ; reconstruction et aggrandissement de l’église (1492) ; foires de Dompierre (vers 1500).
Jehan de Mareuil vendit Dompierre. En 1499, Louis de Dailhon vendit à son tour la Tourtelière à Jean Mérichon, mais Marie Furgon, épouse de Geoges Geoffroy, était restée Dame de Dompierre. Elle l’était encore en 1529, alors qu’elle s’était remariée en 1503 à Jacques de Cursay, maître d’hôtel ordinaire de la reine. Après son deuxième veuvage, elle fut en procès avec l’évêque de Maillezais, à propos de l’agrandissement de l’église. C’est elle aussi qui obtint du roi l’établissement de foires à Dompierre. Elle créa alors des halles qui existaient encore au XVIIIème siècle.
Chapitre V : Guerre de religion ; L’église de Dompierre et l’abbaye de Saint-Léonard des Chaumes ruinées (1568) ; Les troupes royales au siège de La Rochelle (1627) ; Église protestante de Dompierre
L’église de Dompierre et l’abbaye de Saint-Léonard des Chaumes furent en ruines après les guerres de religion, surtout par absence d’entretien. Le territoire de Dompierre ne parait pas avoir été le théâtre d’événements militaires mais servit de passage aux troupes assiégeantes.
Une église réformée avait été créée à Dompierre. La résidence du pasteur était à Belle-Croix. Il y aurait eu 100 protestants à Dompierre en 1663 et 600 à Bourgneuf.
Chapitre VI : la paroisse au XVIIème siècle ; L’église rebâtie ; Extraits des registres de la Fabrique ; Les écoles à Dompierre (dès 1497), aux Brandes, à Puilboreau, à Chagnolet.
Une première requête des habitants du village de l’Ardillière pour être rattachés à Saint-Xandre, fut repoussée par les autorités ecclésiastiques.
Une école exista à Dompierre dès le XVème siècle, la fabrique payait le logement du maître qui n’enseignait en fait que le catéchisme aux enfants.
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